CatégorieDes chimères

(expérience n°4) – #User18

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Attention aux divulgâchements !

Ce que vous allez lire est un chapitre de l’histoire La Manufacture de l’Onirie de la série Chimères qui comprend une autre histoire : Le Monde du Dehors. Si les deux peuvent se lire indépendamment, il est conseillé de découvrir la fin du Le Monde du Dehors avant la fin de cette propre histoire !

Les chapitres du Le Monde du Dehors sont disponibles ici.
Quant à ceux de La Manufacture de l’Onirie, retrouvez-les .

(expérience n°4)

#User18

C’est une étrange forme flottante dans l’air. Elle se meut dans un mouvement irrégulier. Jamais le même. Je n’arrive pas à la décrire. Ça me voit. Ça se glisse près de mon bras. Ça m’effleure doucement comme un chat ronronnant.

J’hésite. Je tends malgré tout ma main…

Je crois toucher un son. Sauf que je ne l’entends pas par mes oreilles. Je le discerne à travers ma chair, mon sang. Comme si toutes mes cellules, toutes mes globules en ressentaient les moindres vibrations et les émettaient à leur tour à l’unisson.

Je discerne un piano au loin qui se rapproche. Cela fait longtemps… je tremble. Je visualise mes mains s’approcher de l’instrument. J’ose toucher du bout de mes doigts les touches blanches et noires. Je les ressens comme des souvenirs mais ils n’existent pas encore. Ils m’appellent. Ils n’attendent qu’à naître.

Ils réveillent au plus profond de moi ce que j’ai longtemps oublié. Ce que je pensais ne plus jamais retrouver. Alors j’appuie. Je sens un fil qui me rattache. J’appuie. Un deuxième rejoint le premier. J’appuie. En voilà trois. J’appuie, j’appuie, j’appuie… je me renoue à quelque chose que j’avais cassé au plus profond de moi. Les fils, devenus nombreux, deviennent des cordes. Ce qui était fragile ne l’est plus, ce qui était incertain ne fait plus place au doute. Je rejoue !

Vous entendez ?! Je rejoue !

(témoignage n°4) – Isabelle

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Attention aux divulgâchements !

Ce que vous allez lire est un chapitre de l’histoire Le Monde du Dehors de la série Chimères. Pour éviter de vous faire divulgâcher, retrouvez tous les chapitres sur cette page !

(témoignage n°4)

Isabelle

« Chaque nuit, je chasse. Ce n’est qu’au coucher du soleil qu’on peut mettre le nez dehors et respirer plus ou moins convenablement. L’absence du soleil, et donc de la chaleur, fait diminuer le gaz. Le jour, il faut se couvrir tout le visage et espérer qu’il ne fera que quarante-cinq degrés celsius. Je suis certaine que même en enfer il fait meilleur. Je n’ai pas d’autre choix que de partir entre minuit et quatre heures du matin. Heureusement, je suis pas seule. J’ai six hommes et une autre femme pour m’accompagner. Notre but ? Trouver tout ce qui peut nous être utile. De la nourriture, des vêtements, des médicaments. Les armes ? Elles se font bien rares. La France n’a jamais voulu doter ses citoyens de ces choses-là, contrairement aux Américains. Pas sûre que notre groupe serait aussi gros si c’était le cas. C’est peut-être un mal pour un bien, qui sait ? Heu… qu’est-ce que je disais déjà ? Ha, oui, la chasse. Toutes les nuits, on espère trouver le bon filon, un peu comme des chasseurs de trésor. Il nous arrive souvent de revenir bredouilles mais parfois on a de belles surprises. Notre plus grosse prise ? Une maison à quelques kilomètres de là. Quelqu’un avait entassé chez lui une tonne de boîtes de conserves, comme s’il avait prévu le coup. Curieux, hein ? Quoi qu’il en soit, on avait tout rapporté dans la Grotte et la communauté nous avait applaudi comme si on avait remporté les jeux olympiques. On était fiers et on se sentait heureux. Alors, chaque nuit, je chasse, et je garde ce beau souvenir en tête. Je cherche pour nous de quoi vivre mieux. »

(expérience n°3) – #User22

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(expérience n°3)

#User22

J’ai dans les mains un bouquet de fleurs, tu sais, des belles roses acacias comme tu les aimes.

Je frappe doucement à la porte… je rentre. Je revois la petite chambre blanche.

Tu es à nouveau allongée sur ce lit noyé de coussins. Ces derniers défient toutes les couleurs pouvant exister puisqu’elles ne se trouvent qu’ici.

Tu sembles avoir été délicatement déposée là par quelques mains, attentives et soigneuses. Elles devaient être trop effrayées par l’idée de te bousculer ne serait-ce qu’un tout petit peu.

Ta chevelure blonde, toujours aussi si volumineuse, si abondante, s’éparpille un peu partout autour de ta tête. Tu es un soleil qui rendrait aveugle toute personne qui oserait contempler ton si beau visage à la peau nuage de lait.

J’ai beau revenir à chaque fois, je reste pétrifié par ton regard émeraude foncé. Il est fixé sur la fenêtre ouverte.

Une légère brise se glisse dans la pièce. Je sens un parfum sucré de printemps doux.

As-tu tourné la tête dans cette direction pour profiter de cette fraîcheur ? Ou est-ce pour mieux voir ce qu’il y a derrière la fenêtre ?

Au-delà de la fenêtre, un moineau s’est posé sur la branche d’un chêne. Il pousse son sifflement joyeux. Il fait sa toilette. Il réajuste les plumes de son corps fragile à l’aide de son petit bec.

Est-ce pour mieux voir ce joli spectacle de mère nature que ton regard s’est figé à travers la fenêtre ?

Au-delà des feuilles de l’arbre, la ville, grande et belle, s’anime. De temps en temps, elle laisse apercevoir une voiture. Elle est pressée et roule vite. Elle est poussée par le temps qui passe.

Est-ce pour mieux voir la vie des hommes stressés que ton regard s’est figé à travers la fenêtre ?

Au-delà des bâtiments, un ciel au feu d’or s’écarte pour laisser entrer l’imposant soleil. Ses rayons sont puissants, brûlants. Il souhaite montrer au monde que, sans lui, celui-ci ne serait rien.

Est-ce pour mieux voir la prétentieuse étoile que ton regard s’est figé à travers la fenêtre ?

Est-ce pour mieux voir ce qui t’attend après la vie que ton regard, figé à travers la fenêtre, s’est éteint ?

Un bouquet de fleurs – des belles roses acacias comme tu les aimais – tombe sur le sol.

Je ne m’y ferai jamais de t’avoir perdue.

(témoignage n°3) – Baptiste

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(témoignage n°3)

Baptiste

« Je ne pensais pas du tout qu’un juriste serait encore utile dans un pays, un monde, où tout pouvoir s’est effondré aussi vite que le reste. Il n’existe plus de gouvernement, plus de police, plus rien. Plus personne pour nous dire quoi faire. Seulement nous et le silence. Des survivants errent sûrement pas loin mais on ne peut pas s’occuper de tout le monde. En tout cas, nous concernant, un homme, Seb, a su prendre les choses assez rapidement dans la Grotte. Il faut dire qu’il a une sacrée autorité naturelle. Il était accompagné de Yann, le plus costaud de tout le groupe. Son revolver n’était jamais loin de lui. Un jour, alors que je venais de faire une description sommaire de chaque membre -vingt-huit femmes, vingt-deux hommes et trois enfants, dont un adolescent de seize ans, ainsi qu’un bébé (si si), Seb était venu rapidement me voir. Il m’avait alors fixé de ses yeux verts intenses, posé une main puissante sur mon épaule puis m’avait déclaré de façon très solennelle qu’il avait besoin de moi. Que je devais impérativement mettre en place des règles sinon on n’allait pas survivre longtemps. D’abord étonné, je lui avais alors répondu de me laisser une journée pour y réfléchir. Le lendemain, j’avais gribouillé sur une feuille que vous m’avez gentiment passé de votre carnet. Je lui avais alors proposé de mettre en place trois groupes : un premier pour proposer les décisions, un deuxième pour les voter (avec ou sans réserves) ou non, et un troisième pour les exécuter. Le jour-même, on décida de mettre en place des élections à la majorité simple faite à main levée. Tout le monde avait le droit de voter sauf les enfants. On avait accepté la participation de l’adolescent. Sans trop attendre, Seb ainsi qu’Isabelle avaient été nommés « Dirigeants ». Trois autres personnes avaient été élus au « Conseil ». Deux hommes et une femme ont été chargés d’assurer la sécurité et la protection de tous. On avait hésité un peu puis on s’était dit que « L’Ordre » sonnait plutôt pas mal. Aussi, il avait été aussi soufflé par quelqu’un du groupe de mettre en place un « Juge » pour résoudre les conflits et, étant donné que tout le monde connaissant mes fonctions passées, j’ai été nommé à ce poste. Et, les autres ? Les « Têtes Baissées ». La situation me faisait un peu rire : les gens étaient confiants alors que le système comportait énormément de failles. Il suffisait d’un rien pour tout renverser. Ils pensaient qu’on allait s’en sortir, que tout ça n’était que du provisoire. Cela fait maintenant quatre mois qu’on est là, dans ce trou, avec un soupçon de contrat social. Pourtant, il suffit d’une simple étincelle pour mettre le feu à tout notre système. »

(expérience n°2) – #User34

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(expérience n°2)

#User34

Tout est lumineux dans ma nuit, là où personne ne peut m’atteindre.

Adossé sur la plus belle lune, je me soûle au meilleur vin de l’Univers.

Il me suffit de tendre les doigts dans le cosmos pour récupérer dans le creux de ma main une étoile. Je la regarde : elle est plutôt jolie.

Je la frotte contre une autre pour qu’elle brille d’un plus bel éclat avant de la projeter dans l’infini céleste en faisant un vœu. Toujours le même.

J’ai une question à la con qui me vient là tout à coup : pourquoi l’amour est aussi chargé en électricité ? Quand on sait que ça commence souvent dans un coup de foudre pour s’achever dans un orage, faut oser s’en rapprocher. D’accord, ça alimente bien le cœur mais ça peut le griller à tout moment.

Je demande aux astres ce qu’ils en pensent… ils me répondent en silence. Désastreux. Comme toujours.

J’échappe mon regard dans les ténèbres troublées par les petites lumières suspendues.

J’aime bien venir ici. Tout est faux, je le sais, mais je m’en fous. C’est beaucoup mieux que le réel. Les algorithmes font naître des vrais endroits de poésie. Ne pleurez plus, Pierrots, poètes et chats noirs ! La lune revit et on peut s’appuyer dessus !

(témoignage n°2) – Erwan

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(témoignage n°2)

Erwan

« ‘La Grotte’ -comme ils aiment la nommer- est bien plus qu’un simple trou sous un rocher : c’est un premier tunnel qui se jette dans un deuxième tunnel se jetant à son tour dans plusieurs autres tunnels. Un ensemble de passages souterrains complexes. Plus ou moins sûrs. Il y a quelques jours, j’ai vu une jeune femme se balader dans l’un de ces sombres passages avant qu’un éboulement n’ait eu raison d’elle. Dommage. Je l’aimais bien cette petite… elle me rappelait ma nièce. Annie, qu’elle s’appelait. Je ne sais d’ailleurs pas ce qu’elle devenue. Ni le reste de ma famille. Bref. Quand cette étrange lumière s’est abattue sur nous, j’ai juste eu le temps de prendre ma femme et de la plaquer contre moi en dessous de la table du salon. La maison avait été secouée dans tous les sens. Tout s’écroulait. On allait mourir. Pourtant, après d’interminables minutes, ça s’est arrêté et on était encore en vie. La table avait bien tenu… et dire que je ne la voulais pas – ! Bref. J’ai quand même été coupé profondément au bras gauche. Il me fait toujours mal d’ailleurs… mais on peut s’estimer heureux d’être encore là. Et surtout d’être là tous les deux l’un pour l’autre. Bref. Sur le moment, sans trop chercher à comprendre la raison de cette catastrophe, on avait tous les deux été pris à l’instinct et on avait récupéré tout ce qu’on avait pu : un caleçon par ci, une bouteille d’eau par-là, un paquet de gâteaux de ce côté, une boîte d’aspirine de l’autre… tout ce qui pouvait nous permettre notre survie. On avait mis le tout dans une valise à moitié cassée qu’on avait retrouvé. Ensuite, on avait osé regarder en l’air, et, en voyant ce ciel orange à la limite du rouge à travers le toit, puis l’air qui nous rongeait les poumons, on avait compris que ça ne touchait pas que notre ville. Que c’était beaucoup plus grave. En passant la porte -du moins de ce qu’il en restait- on avait réalisé que nos voisins n’avaient pas eu la même chance que nous : leurs domiciles étaient en ruines. Nous, au moins, il restait des fondements et on n’avait pas de premier étage. Il faut croire que tout doit tomber et toujours par le haut. Même dans la Grotte, considérée comme un abri, il y a des tunnels qui s’effondrent sur la tête des jeunes femmes. Bref. »

(expérience n°1) – #User12

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(expérience n°1)

#User12

– T’aimes bien la soirée ?

– Ouais mais la musique me gave un peu…

– Ça te dit qu’on prenne l’air ?

Je n’ai pas le temps de répondre qu’il me prend la main. La chaleur de ses doigts me donne le frisson. Il m’emmène.

La courbe de son dos m’invite à le toucher mais je me retiens. Cet homme m’envoûte. Je ne sais pas si ce sont ses cheveux bruns ou ses pieds qui volent au-dessus de la piste de danse. On dirait que son pas est un sourire. Son parfum doux me cueille. J’ai le cœur en décalé avant. Il s’écoule une seconde et un siècle. Soudain, le dehors.

Le vrai luxe c’est le silence. Les étoiles nous allument, nous mettent en lumière. Sur la scène, lui, moi et la lune qui nous espionne en secret. Il remonte d’un mouvement d’épaule son manteau comme pour se protéger. Un bouclier de laine. La neige tombe sur son visage blanc mais c’est mon cœur qui fond. Son corps s’illumine de l’intérieur. Le doux bleu de ses yeux fait tomber mes dernières barrières. Je m’approche puis attrape ses lèvres. Elles ont le goût d’un bonheur retrouvé. Il m’embrasse à son tour, donne sa bouche et prolonge cette sensation qui me remplit.

– C’est l’heure ! me dit une voix tombant directement du ciel.

Tout se casse la gueule. Mon homme fond en goudron jusqu’aux genoux. Je crie.

– Non ! Encore un peu !

Pas de réponse. Le temps se dissout dans mon sang.

Tout s’efface…

(témoignage n°1) – Seb

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(témoignage n°1)

Seb

« J’ai déjà été une fois, dans le monde du dehors. Ce que j’y ai vu n’est pas joli-joli. Les immeubles étaient plus gratte-terres que gratte-ciels, si tu vois ce que je veux dire. Partout où on marchait, on sentait des choses craquer sous nos pieds. Personne n’en parlait, on faisait genre qu’on n’entendait rien mais en fait on écrasait les restes de l’humanité. Des os. Et ‘y en avait des tas… un vrai paradis pour les molosses ! En fermant les yeux, tu pouvais croire qu’un gosse s’amusait à bouffer des kellogg’s la gueule ouverte tellement que ça faisait le même bruit. Et on arrivait à peine à respirer dans cette joyeuse balade sonore. L’air était tellement dégueu que ça nous piquait les mirettes. Fallait porter des tissus bien épais si tu voulais pas tomber dans le gaz en deux-deux. Et tu sais quoi ? On y est resté une heure… une putain d’heure ! On a tous cherché à comprendre pourquoi, sauf une qui a voulu comprendre comment. Une sacré intello celle-là. ‘m’étonnerait pas qu’un jour elle trouve la solution à notre survie… et à mon célibat. Bref, t’en as rien à foutre de ça toi. Tu veux juste noter, garder une trace, pour après, au cas où on arriverait avoir des gosses. Pour leur raconter la merde qui nous est tombée dessus d’un coup. D’ailleurs on sait toujours pas. Moi j’y ai vu du blanc puis du noir. Je me souviens d’être tombé pis de m’être réveillé dans la Grotte. On m’avait traîné jusque là-bas pis me suis réveillé que deux jours après le bordel. Mon salut je le dois qu’à Yann, cette bête de deux mètres de haut. Sans lui, bah… je serais un de ces trucs qu’on marche dessus et qu’on cherche surtout pas à savoir ce que c’est. »

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Les chapitres du Le Monde du Dehors sont disponibles ici.
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Situation de la Grotte (J+17)

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Situation de la Grotte

J+17

Les Dirigeants (deux membres)

  • Seb
  • Isabelle

Le Conseil (trois membres)

  • Erwan
  • Raphaël
  • Priyanka

 

L’Ordre (trois membres)

  • Yann
  • Mathieu
  • Roxane

 Le Juge  (un membre)

  • Baptiste

Les Têtes Baissées (quarante-cinq membres)

  • Liste à part avec fonctions.

Nombre total de survivants :

cinquante-quatre.

Enrím

Cosmonaute vagabond dans l'espace rêvé, j'essaie tant bien que mal de matérialiser tout cet imaginaire qui me traverse.

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